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Samuel Sylvazard [en cours]

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AuteurMessage
PasTOUCHE ♥
Léo M. Reis

Léo M. Reis
PasTOUCHE

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Samuel Sylvazard [en cours] Vide
MessageSujet: Samuel Sylvazard [en cours] Samuel Sylvazard [en cours] Icon_minitimeDim 25 Sep - 16:23

NOM :: Sylvazard
PRÉNOM :: Samuel
ÂGE :: 27 ans
MÉTIER :: Scientifique
RÉGION :: Johto
STARTER :: Terhal

Samuel Sylvazard [en cours] 867910espacecopieSamuel Sylvazard [en cours] 867910espacecopieSamuel Sylvazard [en cours] 867910espacecopieSamuel Sylvazard [en cours] 867910espacecopieSamuel Sylvazard [en cours] 8xlj7a

« Pas de soucis à avoir, cette expérience, c'est du 100% sans danger. Enfin, je crois. »


Physique
:: Couleur de peau ::
Mat
:: Couleur d'yeux ::
Marron
:: Couleur de cheveux ::
Noirs
:: Taille ::
1m86
:: Corpulence ::
Maigre
:: Traits particuliers ::
Barbichette + Rouflaquettes
Caractère
Logique
Rationnel
Intelligent
Très Intelligent
Prévoyant
Entêté
Capricieux
Têtu
Râleur
Susceptible
Perspicace
Réfléchi
Calme
Protecteur
Observateur
Vaniteux
Boudeur
Morfal
Peu éthique
Peu scrupuleux

Qui à dit que le monde scientifique n'était composé que de petits bonhommes bedonnant atteint de calvitie précoce et portant de grosses lunettes ? Ou encore des vieux croulants grabataires ?

Sans déconner, les gars faut arrêter avec les préjugés comme ceux là, on est au 21éme siècle, quoi ! Faut pas croire que leur niveau d’excellence dans leurs domaines évolue en fonction de la négligence de leur aspect physique. Bien au contraire, on assiste même aujourd'hui à une montée en puissances de rats de laboratoire très élégants, pour ne pas passer par le terme quelque peu cru mais au combien justifié de sexy. Un sondage sur ce phénomène à même été récemment publié dans le magazine "Techopunk’s Life", qui à réservé une vingtaine de pages sur trois éditions successives à l’élection du Mister Science de l’année, avec poster central grand format de tout les participants en maillot de bain offert en cadeau dans la dernière édition.

Aujourd’hui, c’est Samuel Sylvazard, arrivé médaille de bronze à ce concours, qui nous intéressera. Du haut de son mètre quatre vingt sept, dix si l’on compte son épaisseur de cheveux noirs coupés, il se considère comme particulièrement gâté par la nature de pouvoir regardé bon nombre de personnes de haut. Il se considère tout aussi gâté par la nature pour d’autres parties de son corps, mais pour celles-ci, nous ne nous attarderons pas dessus, du fait que votre vice naturel vous à depuis le début de cette phrase permis d’interpréter cette succession d’insinuations mielleuse vers une partie bien précise de son corps, je me trompe ?
Enfin, je vous pris de bien vouloir caler ces pensées scabreuses dans un coin sombre de votre esprit malade pour que nous puissions poursuivre, merci. Donc, disais-je, Samuel est très fier de pouvoir contempler les gens de haut. Il n’est de meilleur délice pour sa paire de prunelles cernées couleur café que d’avoir la joie d’observer quelqu’un sur qui il sait qu’il à un avantage, tant physique qu’intellectuel. Cette satisfaction perverse généralement traduite par un sourire sournois du coins des lèvres se reflète souvent dans un tic simple. Si vous le voyez se gratter rapidement l’arrête de son nez pointu puis se frotter la barbe ou ses favoris tout en affichant ce petit sourire, vous pouvez être sur d’une chose : il se sent supérieur à vous.

Néanmoins, quand je dis "supérieur" sur le plan physique, ce n’est qu’en rapport avec la différence de taille et tout ça, et non pas avec une éventuelle activité sportive lui ayant valu un minimum de muscles saillant. Non, y a pas à dire, Samuel n’est pas vraiment sportif. Sa constitution lui permet en revanche de pouvoir manger comme quatre tout en restant maigre comme un clou, mais de là à avoir des muscles au point de pouvoir se pavaner avec, il faudrait faire un tant soit peu d’activité physique, et ça, il s’y refuse catégoriquement. Comme il dit, « Le sport mène à une contraction musculaire, qui mène elle-même à une vive douleur dans les parties concernées. Et il révèle de cette volonté une pathologie masochiste lourde chez un patient de se faire mal volontairement. CQFD. »

Enfin, même si son absence de biscotto lui à valu d’échapper au grand minimum de la seconde place, son style vestimentaire, lui, lui a permis de faire de grands sauts en avant lors du sondage. Étant assez frileux, notre homme est souvent vêtu d’un sweat-shirt et d’un jean, accompagné d’une paire de chaussures en toile et d’un bonnet blanc moucheté de noir, le tout offrant à l’individu un style de brun ténébreux plutôt rock'n'roll non négligeable. Et il en est plutôt fier.

Notre homme, qui est donc très fier de son physique vous l‘aurez bien compris, est pour ainsi dire le chouchou de la presse scientifique, ces derniers temps. Rendu célèbre pour l’aboutissement pour le moins incongru de ses recherches portant sur une énergie inépuisable et en osmose avec l’environnement, il va sans dire que les "GEA" (Groupes Électrotuberculeux Autonomes), autrement appelés super-batteries-patates du Docteur Salazar à fait grand foin au sein de la communauté scientifique. Et notre homme n’est pas le dernier à le rappeler. Resté beaucoup trop longtemps à son gout dans l’ombre de ses pairs, la vanité naturelle de Samuel est un élément majeur de sa personnalité. Et ce même lorsqu’il ne s’agit pas de son produit loufoque ; pour tout ce qui concerne la science ou lorsqu’il sait qu’il possède plus de connaissances que ses interlocuteurs sur un sujet, notre monsieur ne se fait pas prier pour démontrer sa supériorité intellectuelle. Après tout, il y a de quoi ! Touchant à un peu toutes les formes de sciences, notre homme, à l’origine docteur et chirurgien (ce qui, dans le monde médical, est très rare) renommé, notre homme donc a d’excellentes connaissance en électronique, psychologie, mécanique, et aurait d’après les dernières rumeurs de plus en plus d’intérêt pour le mystères des Pokémons.

La curiosité sans faille, vous l’aurez bien compris, de notre homme s’allie donc parfaitement avec le génie inné qui est le sien. Et comme il est normal de s’y attendre, Samuel, à l’instar des plus Grands de ce monde, possède un caractère bien trempé.

Cynique, explicitement vantard et d’une volonté d’être meilleur à toute épreuve, ne vous attendez pas à être valorisé lorsque vous parler avec lui - sauf si il vous aime bien ou que vous le connaissez depuis assez longtemps pour comprenne son système de fonctionnement. Diplômé en psychologie, et tant bien même cela n’aurait pas été le cas, Sam possède l’irritante faculté de deviner ce qui provoque une grande insécurité chez ses interlocuteurs, faculté qu’il ne manque pas d’utiliser subrepticement dans toutes ses conversations lorsqu’il veut prendre le dessus dans la conversation. Comme tout bon génie, il ne peu avoir tort, du moins il en est persuadé, ce qui fait de lui une tête de mule hors de premier choix, doublé d’un égocentrisme indécrottable.

Tel que je vous l’ai décris jusqu’à présent, j’imagine bien que vous vous faites une idée assez noire de Samuel. Vous vous l’imaginez surement comme un connard égoïste et prétentieux, n’est ce pas ? Et bien non. Vous avez beau ne pas être très loin de la réalité, mais il vous manque une facette primordiale de cette homme avant de pouvoir vous faire un avis définitif sur le personnage. Selon vous, qu’elle est la chose qui pourrait pousser un être aussi méprisable à devenir médecin ?

L’envie d’aider les autres. La nécessité de savoir que quelque part on agit dans le bien d’une personne plutôt que pour un chiffre d’affaire. La volonté d’apporter aux autres des explications sur ce qu’ils ne peuvent pas comprendre. Voilà les principaux moteurs de Samuel. Grosso modo, on pourrait dire que c’est une pierre avec un cœur d’endive. Du genre grosse brute un peu bourru, qui est trop fier pour vous inviter à danser ou vous payer un coup à boire de lui-même, mais qui vous passera son manteau pour qu’il vous tienne au chaud si il fait un peu froid dehors. Et qui se taillera les veines en quatre si, même si vous êtes un parfait inconnu, pour vous sauver les miches en cas de danger.

Ce sont ces grands principes qui lui ont permis de tenir et d’être aussi studieux dans sa profession. Néanmoins, il reste encore quelques points sombres au sujet de personnage, comme un certain non respect des règles élémentaires, qui a dernièrement fait un grand barouf médiatique …


Mais alors que tout semblait aller pour le mieux pour le jeune génie, un os de taille vint à se coincer dans la mécanique bien huilé de son succès. Jusqu'ici, les méthodes peu orthodoxes et plus ou moins douteuses qui étaient les siennes n'étaient rien de plus que des rumeurs, au même rangs que celles disant qu'il mettait un paquet d'argent pour faire taire ces dernières. Mais justement. Sa fortune ne suffit pas cette fois-ci où, pas moins d'une vingtaine de famille ne porte plainte contre notre homme ... Plus qu'une plainte, un véritable tollé. Remarquez, de nos jours, avec le serment d’Hippocrate et les bonnes mœurs socialement acceptable par tous en ce qui concerne la vie et la préservation de celle-ci dans sa moindre petite parcelle, on aurait du mal à imaginer qu'un de ses défenseurs - un médecin en l’occurrence - puisse jeter aux orties tout ces beaux principes. Pas moins de vingts personnes. Vingts personnes décédées selon sa volonté.

L'accident majeur de la portion B de l'autoroute 999 restera dans toutes les mémoires. L'embardée de ce bus scolaire par dessus la glissière de sécurité du pont, causée par l'éclatement subit d'un pneu lui même causé par quelques petits bouts de verres disséminé sur le bitume est bien l'un des événements les plus dramatiques des dix dernières années. Des dizaines de personnes blessées. Des centaines bloquées. Et une petite vingtaine d'enfants d’on on a ignoré le pronostic vital durant de longues heures, tous enfermé dans la carcasse de métal du car éventré, en équilibre sur le rebord d'une falaise. Le sauvetage dura de longues heures, mais finalement, la seule victime a déplorée restait le chauffeur, qui était passé a travers le pare brise. Mais tout les enfants étaient en vie ... Ou presque. Sur la trentaine de gamins, seulement quatre ou cinq étaient blessés légèrement. Les autres furent tous transportés à l'hôpital. Et de longues heures plus tard, Samuel, qui avait opéré tout ces gosses presque un par un, avait perdu tout espoir pour quatre d'entre eux, qui faute de greffe d'organes, n'avaient guère de chance. Au total, il faudrait un pancréas, un rein, une valvule cardiaque et un poumon. Le dernier enfant avait eu un de ses poumons perforé par une barre de fer, et souffrant d'asthme, devoir se reposer sur un seul poumon risquait de se montrer génant dans sa croissance. Des quatre patients, c'était le seul qui avait quelques semaines devant lui si on ne faisait rien. Pour les autres, la situation se résumait plus en heures.
Les heures furent longues. Malgré la fin de son service et les nombreuses recommandations de ses collègues et amis, le jeune chirurgien resta une partie de la nuit à déambuler dans les couloirs du centre hospitalier, maintenu debout par son mépris naturel pour la grande faucheuse, des doses de caféines plus importants à chaque nouvelles tasses et le fol espoir que des organes puissent lui tomber du plafond dans les mains. De l'espoir de fou.

Et pourtant, le miracle eut lieu. Aux alentours de six heures du matin, alors que le soleil commençait à pointer à l'horizon et que les cernes naturelles du docteur se creusaient un peu plus, un infirmier vint le prévenir qu'on avait trouvé un donneur.

Le médecin du service venaient tout juste de débrancher l'électrocardiogramme de son torse quand Samuel entra dans sa chambre. C'était une jeune femme d'une trentaine d'année, bien connue du service d'urgence et de toxicologie pour ses fréquentes dépressions, overdoses et tentative de mettre fin à ses jours. Un examen toxicologique avait même été demandé par la famille pour savoir de quelle manière elle était morte. Bien que se sentant un peu mal à l'aise vis à vis de la famille, il n'attendit pas une seconde. La donneuse et les quatre enfants furent emmenés en salle de chirurgie sans perdre un instant. N'étant pas autorisé à pratiquer l'opération sans s'être reposé un peu, Samuel ne se contenta que de signer la feuille confirmant les greffes, puis rentra chez lui, le cœur léger, pour profiter d'un repos bien mérité.

Et c'est avec un cœur tout aussi léger qu'il reprit son service le surlendemain, après avoir dormis 24h de suite. Les gamins récupéraient bien. Sur les quatre, trois avaient déjà repris connaissances. Toute sa journée s'articula autour de ces gamins. Ne laissant pas non plus ses autres patients de cotés, Samuel garda néanmoins un œil fréquent sur les constantes de ses jeunes patients. Excès de prudence ? Peut être. Pour des corps jeune, l'opération en semblait pas avoir été trop lourde, et il semblait même que les greffes aient bien pris. Mais tout ne pouvait pas être aussi facile. De toutes les complications possibles et imaginable qu'il avait imaginé, c'est la plus improbable et la plus désagréable surprise qui renversa la situation. Un infirmier affolé apporta le résultat des examens de la donneuse. Loin d'être morte d'une overdose, c'était la maladie qui avait emporté la jeune femme. Le diagnostic venait de tomber : la Rage.

L’après midi débuta par un branle-bas de combat général dans le service du Docteur Sylvazard. La priorité absolue était de maintenir les enfants en vie le temps qu'une solution pointe le bout de son nez. Mais une contagion apporté diffusée par un organe entier ne pouvait être si facilement endigué, ni même vaincu. La petit fille ayant reçu le pancréas fut la première à partir. Suivie de quelques heures par le garçon greffé du rein. Celui à la valvule cardiaque partit un peu avant 18h. Cette série noire démoli à boulet rouge la motivation du chirurgien. Celui-ci s'était retiré dans la cafétéria de l’hôpital, tachant de se rappeler ses principes en fixant intensément le morceau de clafouti dans sa petite cuillère. "Allez, ressaisis toi, vieux. Tu sais bien qu'il ne faut jamais commencer à se reprocher les morts qui ne sont pas de notre faute. C'est vrai, après tout, qui aurait pu deviner ? La Rage ! C'est à peine si on à quelques cas déclaré chaque années ... Et puis prendre le temps d'attendre les résultats des examen aurait été un gâchis de temps, ils n'auraient jamais tenus jusque là ... Allez, ressaisis toi, vieux cornichon. Tu dois - " C'est alors que la sonnerie qu'il redoutait tant résonna. Sachant très bien d'où l'appel venait, il ne pris pas la peine de vérifier son bipeur et fonça vers la chambre du jeune garçon opéré des poumons.

Les antibiotiques n'avaient pas tenus le coup. Les injections restèrent sans effet. Le défibrillateur ne fit rien de plus.
Le docteur s'acharna sur le petit garçon, demandant inlassablement à l’infirmière d'augmenter la tension du défibrilateur, reniant le bip continue de l'électrocardigramme.


STARTER :: Terhal
SURNOM :: Tungstène
TYPE :: Acier | Psy
NATURE :: Bizarre
SEXE :: Non défini

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Samuel Sylvazard [en cours] K9vrzt
AVATAR ::
SURNOM :: Mushroum
ÂGE :: 18 ans
PLUS :: Esclave dévoué de la fondatrice o/
CODE :: Texte
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Samuel Sylvazard [en cours]

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